1 - Analyser votre mix et fournir un fichier WAV par track.
Les exports doivent être bouncés dans la fréquence et le bit de l’enregistrement, soit par exemple communément 44Khz ou 48Khz et 24 bits.
C’est au mastering que l’on réalise le downsampling (ex. 48 vers 44k) et le dithering (ex. 24 vers 16 bits).
Le corps du mix doit se situer en vue d'un pressage et mastering vinyle vers -12/9 dBfs et idéalement les crêtes vers -6dB. Cela laisse de la mage de manoeuvre pour faire travailler le hardware et pousser les gains analogiques. Dans l'exemple ci-dessous, extrait d'un titre au moment où le morceau est le plus fort, on remarque que les niveaux L/R sont bien équilibrés et que les crêtes tapent au maximum à -2dB tout en ayant une excellente dynamique générale. Idéal.
Les exports doivent être bouncés dans la fréquence et le bit de l’enregistrement, soit par exemple communément 44Khz ou 48Khz et 24 bits.
C’est au mastering que l’on réalise le downsampling (ex. 48 vers 44k) et le dithering (ex. 24 vers 16 bits).
Le corps du mix doit se situer en vue d'un pressage et mastering vinyle vers -12/9 dBfs et idéalement les crêtes vers -6dB. Cela laisse de la mage de manoeuvre pour faire travailler le hardware et pousser les gains analogiques. Dans l'exemple ci-dessous, extrait d'un titre au moment où le morceau est le plus fort, on remarque que les niveaux L/R sont bien équilibrés et que les crêtes tapent au maximum à -2dB tout en ayant une excellente dynamique générale. Idéal.
2 - Fournir obligatoirement une tracklist sous forme de document texte reprenant avec une orthographe parfaitement libellée selon votre volonté de la voir affichée :
- nom du groupe
- non de l’album
- ordre des pistes
- titre des pistes
- faire savoir si certaines pistes doivent s’enchainer sans blancs
- nom prénom auteur compositeur interprète pistes par pistes
- codes ISRC